Voila maintenant un peu plus de 4 ans que ce blog existe, et ce billet est le 100ème.
Depuis nos premières escapades en montagne dans le Donezan jusqu’aux premières courses d’alpinisme et en passant par la découverte de l’escalade, le virus ne nous a jamais quitté.
Pour ce long weekend, nous avons pris la direction de Gavarnie pour gravir le Vignemale par l’arête esthétique qui relie le Petit Vignemale à la Pointe Chausenque.
Ont répondu à l’appel : Marie, JeanFi, Laurent, Delphine et moi-même.
Il est 14h30 samedi quand nous attaquons la montée vers le refuge de Baysselance, bivouac sur le dos pour éviter de s’entasser dans un refuge complet.
Des moutonas au frais sur le névé.
Une petite pause avant d’attaquer la deuxième partie de la montée.
En arrivant au refuge.
Heureusement qu’on était serrés, il a pas fait chaud !
Le Vignemale côté nord.
Quelques petits soucis pour Delphine le lendemain, ce sera donc la voie normale, accompagnée par Marie.
Pour nous, direction le Petit Vignemale, à 1h00 du refuge.
Ce qui nous attend.
La première désescalade facile en face nord.
le Dièdre Jaune dans la face nord du Vignemale avec l’Ossau en toile de fond.
Deuxième désescalade, en face sud cette fois.
Au même endroit, mais vu depuis le glacier.
Re-désescalade en face nord, un peu plus exposée cette fois.
Au tour de Laurent
Dans la partie la plus aérienne et la plus belle de l’itinéraire.
La pose des montagnards !
A l’attaque de la Pointe Chausenque, escalade facile et très agréable.
La vallée de Gaube.
Arrivée au sommet de la Pointe Chausenque.
En montant à la Pique Longue.
Une marmotte bien portante !
Détente après la descente.
Cette traversée est une très belle course aux difficultés modestes qui est une parfaite alternative à la voie normale et à ses caravanes de randonneurs.
La topo sur Camptocamp.org : ici